La toile du monde, Antonin Varenne. éd Albin Michel

Le sujet est aguicheur, d'ailleurs il est pretexte à beaucoup de descriptions hmmm... impudiques ? Il est bien dit dans la quatrième de couverture : Aileen est un être affranchi de tout lien et de toute morale et que le récit qui nous immerge au coeur des bordels chers aux peintres.

Dernier livre d'un triptyque ça ne donne pas envie de lire les précédents !

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